© Emmanuel Robert Espalieu/Théâtre de l'Atelier
Je sais qu'il existe des amours réciproques…
… mais je ne prétends pas au luxe
2005 - France

Irène Jacob, Jérôme Kircher et Benoît Delbecq expliquent en trois points le programme de Gros-Câlin : Irène Jacob, questionnée sans ménagement, qualifiée de star tellement discrète (qui “ne fait la une d'aucun journal et ça marche”), tellement Suisse (quoique Franco-), qui a joué dans des films “tellement ch…[CH pour chiant, pas pour Suisse!)]", etc. joue à armes égales (ou presque) avec le Fou du Roi… Irène Jacob réussit à rétablir l'ordre dans sa carrière et bien sûr défend la pièce reprise au Théâtre de l'Atelier, à Paris, cette vision personnelle de Gros-Câlin par Irène, Jérôme et Benoît. De toutes façons, ses interlocuteurs avaient aimé la pièce. Et la comédienne aussi.
[am, 21/03/05]
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Je sais qu'il existe des amours réciproques mais je ne prétends pas au luxe

«Adoption libre […] de coq à l'âne en réjouissantes incongruités, Monsieur Cousin nous entretient de la vie telle qu'on la laisse filer, alors que la vie est une affaire sérieuse, à cause de futilité" […] Adaptation musicale […] Comme autant de traces, fragments de dialogues, jeux de mémoire, chansonnettes dont les paroles sont puisées dans le texte, miniatures murmurées, séquences chorégraphiées. […] A partir du texte nous avons cherché musicalement “là ou ça chante” comme dit Gary “avec danses populaires, flûtes, coquelicots et sourires d'amitié”. Dans le noir, on peut se permettre. Programmation visuelle […] et lumières […] A la scène, nous tentons de transposer en déséquilibres visuels l'acrobatie du récit : ombres chinoises, projections filmées, décomposition des images sur plusieurs axes, saut de la projection, tout cela, rythmé ou dé-rythmépar la musique et le récit. »
[Extrait du programme du Théâtre de l'Atelier]
DR